Sobriété ou Vie en Rose ?

Le 2e quart du 21e siècle commence dans un contexte hautement à risque.  Deux personnages aux profils sulfureux ont pris les manettes de la première puissance économique et militaire et 2e pays le plus pollueur (1) de notre planète. L'un a gagné sa fortune en...

Nous ne maîtrisons pas la potentielle « fin du monde », mais nous pouvons chacun contribuer à la « fin d’un monde »

Le film vedette de Netflix est une parodie du comportement de l’humanité face à la crise climatique.

J’utilise ici l’expression « monde à risques » pour qualifier ce qui se profile à l’horizon, non pas par pessimisme, mais suite à une analyse objective des risques que notre civilisation encourt et avec l’intention de m’y préparer afin de préserver et même faire progresser mon niveau de sérénité. Ma deuxième intention est d’alerter sur ces risques et de partager ma vision sur comment se préparer à les affronter avec la plus grande sérénité possible.

Notre société est déjà en train d’être rattraper partiellement par les impacts du dérèglement climatique et plus on attend et plus cela fera mal

Notre maison brûle, nous ne pouvons plus regarder ailleurs ! Imaginons que c’est notre cuisine qui a commencé à brûler, que nos enfants dorment encore paisiblement à l’étage et qu’il n’y a pas moyen de sortir de la maison, qu’est-ce que nous faisons ? Si nous sommes des êtres responsables, nous faisons le maximum pour limiter l’incendie et sauver ce qu’on peut, n’est-ce pas ?

Je suis certain que nous sommes près de basculer d’un côté ou de l’autre, du côté de l’effondrement inéluctable de notre civilisation dans les années qui viennent, ou du côté de la mutation vers une société prenant son avenir en main.

J’entends et je lis dans les médias, newsletters et réseaux sociaux des polémiques autour de la cause des canicules : « Il y a eu de nombreux pics de chaleur tout aussi graves dans les siècles passés, alors que l’activité humaine ne dégageait pas de gaz à effet de...

 Didier - Citoyen du Monde

"La grande erreur de notre temps, ça été de pencher, je dis plus, de courber l'esprit des hommes vers la recherche du bien matériel. Il importe, messieurs, de remédier au mal; il faut relever l'esprit de l'homme, le tourner vers la conscience, vers le beau, le juste...